Michel PASSELERGUE

Michel PASSELERGUE



Aujourd’hui professeur retraité, Michel Passelergue (né en 1942) a enseigné les mathématiques en banlieue parisienne. Poète, critique et essayiste, il a été membre du comité de rédaction de la revue transdisciplinaire Phréatique (dirigée par Gérard Murail) de 1980 à 2001. La poésie est une aventure de voyelles, un chant fracturé. Tout ce qui tourne et grince dans l’os. À lire : Érosion, 1962-1968 (Pierre Jean Oswald), Nyx, 1969 (Formes et langages), Le feu et la parole, 1970-1972 (Formes et langages), Vers la flamme, 1972-1974 (Formes et langages), L’oreille absolue, 1969-1977 (Formes et langages), Impasses, 1981-1985 (G.R.P.), Une lettre ouverte au silence, 1982-1986 (G.R.P.), La nuit, l’autre, 1987-1993 (La Bartavelle), Zodiaque apocryphe et autres écrits harmoniques, 1990-1997 (G.R .P.), Allégories perdues, 1994-1998 (G.R.P.), Le temps étroit, 1998-2000 (G.R.P.), Le réel, j’imagine, Poésie, environs (L’Harmattan, 2005), Lettres à Ophélie (L’Arbre à paroles, 2006),Lontana in sonno(éd. Aspect, 2012).



Publié(e) dans la revue Les Hommes sans épaules




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