François LAUR
François Laur, né en Aveyron, en 1943, vit aujourd’hui à Carcassonne, pays de soleil, de vin et de vent. Il a fait ses études supérieures à Toulouse, longtemps s’est levé de bonne heure, a enseigné la littérature sur deux continents, s’est frotté de phénoménologie. Il aime collaborer avec des artistes, écrit de brefs poèmes en prose (et, parfois, en vers). Sa parole, comme l'écrit Paul Sanda, est d'abord sensuelle, elle a ce staccato qui est le souffle court des corps qui s'aiment ; le monde est convoqué dans ce qu'il a de plus charnel. À lire : Benn Boo, Mihály, 1993. Via, Mihály, 1994. Configurations, Rafael de Surtis, 1997. Notre étreinte sans pitié, Rafael de Surtis, 1999. Mal Mer (avec J.G. Gwezenneg), L’instant perpétuel, 2000. Parages des lisières, L’instant perpétuel, 2000. Bord à Bord, Rafael de Surtis, 2001. La vraie vie n’est pas ailleurs, Rafael de Surtis, 2001. Dresse, L’instant perpétuel, 2002. La nuit remue, Rafael de Surtis, 2002. Ravage de fagots sous un ciel sans rage, Rafael de Surtis, 2003. Pleines sèves pour nos jours, Rafael de Surtis, 2004. Claude Simon : le tissage de la langue (essai), Rafael de Surtis, 2005. Quotidiennes, Rafael de Surtis, 2006. Madrague du presque rien (avec Alain Lestié), Rafael de Surtis, 2007. Quand luminait le chardon bleu, Rafael de Surtis, 2007. La Treizième revient (avec Alain Lestié), Rafael de Surtis, 2008. Écoute flottante (avec Alain Perrier-Doron), Rafael de Surtis, 2009.
Publié(e) dans la revue Les Hommes sans épaules
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Dossier : Léo MALET & Yves MARTIN, la rue, Paris, la poésie et le Merveilleux, n° 20 |